a) Limiter à la source, via une interaction étroite avec les pouvoirs fédéraux, la mise sur le marché de substances toxiques pour le milieu aquatique et la santé. L’enjeu est bien de développer une approche préventive et globale plutôt que de « traiter » l’environnement pour le rendre moins toxique.
b) Continuer le monitoring et les études relatives aux polluants « émergents » dans l’ensemble des compartiments du cycle de l’eau. Approfondir les connaissances sur le caractère toxique de ces substances aux concentrations détectées, et à l’exposition générale de la population, en prenant en compte les effets cocktails.
c) Restaurer annuellement la qualité hydromorphologique de 10 % des cours d’eau wallons afin de se conformer aux obligations européennes.